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Queenworld.fr

Brian May Red Special de Digitech

28 Octobre 2009, 18:10pm

Publié par ANTHEVA

nullSept sonorités Signature et quatorze variations, pour raconter les trente années de Brian May au sein du grandissime groupe Queen.

La Brian May Red Special recèle des sons parmi les plus originaux et les plus vainement copiés de l¹histoire du Rock.

De "We Will Rock You" à "Bohemian Rhapsody" jusqu¹au son unique de son ampli "Deacy" (construit par John Deacon, bassiste de Queen). Digitech et le Producteur/ ingénieur du son Eddy Kramer, ont une fois de plus réussi a capturer l'âme de ce fabuleux guitariste.

Caractéristiques techniques :

- Sonorités Red Special, Treble Booster, Ampli Deacy, Vox AC30, Phaser Foxx Foot, configuration micros, Delay, reverb, Flanger, Acoustique, Telecaster etc...
- Bouton "Guitar" permettant d¹optimiser le son de la pédale, selon votre configuration de micros.
- Contrôles gain / niveau d¹entrée Graves / aigus.
- Mode "Output" donnant le choix entre ampli mono, mixer, mixer stéréo et ampli stéréo.
 Finition bois Vintage différent sur chaque pédale, inspiré de la guitare Red Special originale.
- Livrée avec housse, alimentation secteur, médiator Brian May.
- Pédalier de contrôle FS3X optionnelle.

Prix TTC: environ 250 euros

Site internet

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Brian May ressuscite en 3D la vie d'un village anglais en 1850

27 Octobre 2009, 22:04pm

Publié par ANTHEVA

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Après trente ans de recherches, le guitariste du groupe Queen, Brian May, a réalisé un rêve d'enfance en retrouvant la trace d'un village anglais photographié en clichés "3D" couleurs il y a 150 ans environ, dont il a tiré un livre.

Dans les années 1850, le photographe T. R. Williams essaie son talent sur un village de son enfance, immortalisant la vie quotidienne sur des clichés stéréoscopiques, peints à la main de couleurs vives. Mais jamais, il ne dévoile le nom du bourg qu'il avait choisi.

Le mystère allait captiver le jeune Brian May, bien avant qu'il ne fonde le groupe britannique Queen avec le chanteur Freddie Mercury. Bien avant qu'il n'écrive des tubes légendaires comme "We Will Rock You", "The Show Must Go On" ou "Flash".

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QUEEN - A DAY AT THE RACES (1976)

27 Octobre 2009, 21:05pm

Publié par ANTHEVA

A Day at the Races, à défaut de vouloir imiter l’album précédent (et heureusement !), comme bon nombre de personnes le croient, apparaît comme son complémentaire, la deuxième face de la pièce de monnaie, aussi sûrement que le jour et la nuit se complètent dans le petit cycle d’une journée terrestre.
On s’en rendra compte, cet album est excellent, mais paraît plus mature, ou du moins plus mesuré que sa grande sœur. On y retrouve une ambiance chatoyante et luxueuse, mais dont le coup de folie a légèrement diminué (à ce titre, on ne retrouvera pas de morceau fleuve comme le Prophet’s Song ou de titre grandiloquent comme  Bohemian Rhapsody . Ce qui pourra paraître paradoxal, à l’image de la pochette, c’est que l’ambiance semble plus sombre. Alors qu’A night at the opera, censément nocturne, affichait une clarté décomplexée, A day at the races se pare de la teinte vespérale d’une tenue de soirée.
Reste que A Day At the Races garde la grande classe et possède des atouts, entre pop et hard rock, qui ont de quoi séduire.

Or donc, on entre dans l’album, passée la courte introduction de rigueur, sur le très rentre-dedans Tie Your Mother Down, grande leçon de hard rock accrocheur et ironique (« Take your little brother swimmin‘ with a brick, that’s allright… »), qui ne pâlit absolument pas, d’ailleurs, face à un Death On Two Legs dans le même genre. Ce serait même plutôt le contraire. Ensuite on enchaîne avec une sérénade aux accents de complainte feutrée, You Take My Breath Away, qui prouve, s’il y en avait encore besoin, que Freddie Mercury peut faire frissonner avec de simples accords de piano pour le soutenir.
Autre joyau sur la couronne, The Millionaire Waltz, qui, comme son nom l’indique, adopte le rythme ample de la valse, mené d’abord au piano, puis ensuite à la guitare et soumit à de subtiles variations, comme tel passage introspectif ou telle explosion de riffs, avec un bonheur certain.

On peut évoquer aussi le célèbre Somebody to Love, dont les chœurs prennent des inflexions gospels, Good Old-Fashioned Lover Boy, délicieusement rétro (tout est dans le titre) où Freddie s’improvise crooner ou encore les agréables pop-rock Long Away (chanté par May) et You and I. Notons pour finir le hard rock White Man et l’introspectif Drowse (interprété par Roger), un peu moins marquants, mais qui s’apprécient malgré tout comme des morceaux charnières. Et l’album s’achève alors sur l’excellente ballade Teo Torriate, qui joue sur la montée en puissance et les chœurs, avec une mélodie et deux refrains (dont le second est en japonais) des plus accrocheurs.
A effectuer un tel inventaire, on se rend compte qu’il n’y a rien à jeter sur cet album : il tient la distance et il ne cherche pas, dans une vaine tentative, à renouveler l’expérience A night at the opera  ; apprécions-le à sa juste valeur : un petit bijou trop souvent sous-estimé dans la longue discographie de Queen (car manquant de tubes, sans doute).

En conclusion, A Day at the Races est donc plutôt riche émotionnellement, moins délirant que son prédécesseur, mais peut-être plus homogène, outre le côté romantique davantage observé, et à mon avis, l’auditeur n’y perd pas tant que ça au change. Le groupe va de l’avant, évolue et c’est tant mieux, comme le prouveront encore les albums suivants, à chaque fois différents.
Un indispensable du groupe.

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QUEEN - A NIGHT AT THE OPERA (1975)

26 Octobre 2009, 17:08pm

Publié par ANTHEVA


ATTENTION CHEF D'OEUVRE!!!!


'A Night At The Opera' est le chef d'oeuvre de Queen, et aussi l'un des disques des plus importants de l'histoire de la musique moderne. C'est aussi bien sûr le disque de 'Bohemian Rhapsody', la création mythique de Freddie Mercury. la structure du morceau ainsi que sa partie opéra tout à fait surprenante, chantée par Freddie, Brian et Roger, dont les voix sont multipliées par 180, a provoqué un grand boulversement dans le monde du rock et reste encore l'un des thèmes les plus représentatifs de Queen.

Rock-My-World ce doit de discourir + longuement sur ce monument du rock mondial
Alors suivez-moi et cliquez sur le lien

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HIGHLANDER

25 Octobre 2009, 22:48pm

Publié par ANTHEVA


Synopsis
:
Connor Macleod est un immortel. Il traverse les Ages depuis son Ecosse de 1536, multipliant les rencontres, les expériences et les combats...Car depuis plus de 400 ans Macleod affronte dans des luttes sans merci d'autres immortels pour remporter Le Prix. Le seul moyen de le tuer est de leur trancher la tête et c'est ce qu'il s'évertue à faire depuis des siècles tout comme son ennemi juré : le Kurgan. Un guerrier sadique ayant tué la majorité des immortels.
C'est dans le New York de 1986 que Macleod prépare le combat ultime qui fera de lui le dernier des immortels. Il ne peut en rester qu'un.

Highlander est un film américain de Russell Mulcahy sorti en 1986. Il a connu de très nombreux dérivés (séries télévisées, romans, dessins animés, etc.)


Elément essentiel à la réussite du film : la bande son. Travaillée par Michael Kamen et magnifiée par les chansons de Queen - tirée de L'albums A Kind of Magic ,la bande originale de Highlander reste encore de nos jours un grand moment de musique cinéphilique.






 

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FIGURINE NECA FREDDIE MERCURY

25 Octobre 2009, 22:04pm

Publié par ANTHEVA



Freddie Mercury, l'inoubliable chanteur du groupe Queen, fut sans conteste l'un des showmen les plus impressionnants du rock mondial.

Neca lui rend hommage avec cette superbe figurine 18 pouces (45 cm). Il porte sa célèbre tenue de la tournée Magic Tour de 1986.
Articulée et sonore, avec environ une minute d'extraits des plus grands succès de Queen, elle ravira les fans. Elle peut être positionnée dans la célèbre attitude de freddie mercury, le bras droit tendu vers le haut.

Type : Action figure en PVC
Dimension : H 45 cm


Fabriquant:Neca

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PETER FREESTONE

25 Octobre 2009, 16:37pm

Publié par ANTHEVA

"Impossible de décrire mon emploi du temps à son service 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Je fais tout : répondre au téléphone, faire sa cuisine, ses comptes. Dans la vie, Freddie est une catastrophe. En 1987, au bout de huit années à ses côtés, je l’entends m’annoncer : « Peter, tu sais que je ne vais pas très bien ? » Je reste près de lui jusqu’à la fin, le 24 novembre 1991".
Par Peter Freestone


En 1979, je travaille comme costumier à la London’s Royal Opera House. C’est là que je rencontre Freddie pour la première fois. Il est l’invité spécial d’un grand concert de charité. En coulisses, je l’observe, avec dix-huit personnes autour de lui pour l’aider à enfiler ses costumes, très moulants à cette époque. Après le concert nous échangeons quelques mots. Deux semaines plus tard, le manager de Queen appelle mon patron pour savoir si je veux partir six semaines en tournée avec eux, en tant que costumier. J’accepte, bien sûr.

Au bout de quelques mois, je deviens l’assistant personnel de Freddie Mercury. Je n’ai pas de contrat de travail, parce que rien ne peut décrire mon emploi. Je dois répondre au téléphone, faire ses courses, la cuisine, les comptes... Bref, tous ces trucs que les gens font normalement seuls mais que Freddie ne fait pas. Il est capable de choses incroyables en musique mais, à côté de ça, c’est la catastrophe ! Un jour il me réveille en pleine nuit pour me dire : « Peter, je voudrais faire du thé. Comment fait-on marcher le micro-ondes ? » Je lui réponds : « Mais on n’utilise pas le micro-ondes pour faire du thé ! »
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Histoire de la statue de Freddie Mercury à Montreux

25 Octobre 2009, 15:13pm

Publié par ANTHEVA

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La ville Suisse de Montreux, connue dans le monde entier pour son Festival de Jazz international, a donné un emplacement spectaculaire au bord du Lac Léman pour une statue destinée à perpétuer la mémoire à l’inoubliable et grand Freddie Mercury.

La statue de Freddie Mercury, offerte par les membres restants de QUEEN, sa famille et ses amis, a été créée par la sculptrice tchèque Irena Sedlecka. Irena a été lauréate d’état dans les années 50, elle vit maintenant à Londres et est l’une des membres de la « Royal Society of British Sculptors » et membre de la « Society of Portrait Sculptors ».

Dans les derniers jours de sa vie, alors qu’il luttait contre le SIDA, Montreux est devenu un havre de paix et la seconde maison pour Freddie Mercury. Il perdit la bataille contre la maladie peu après son 45ème anniversaire, le 24 novembre 1991, mais pas avant avoir composé et enregistré son œuvre finale avec les autres membres de QUEEN John Deacon, Brian May et Roger Taylor dans leur Mountain Studios à Montreux.

L’inauguration de la statue, le 25 novembre 1996, à 15 heures, a été effectuée par la légende d’opéra Montserrat Caballé avec qui Freddie avait enregistré le fameux « Barcelona » et qui était devenue une amie très chère. Parmi les invités à cette inauguration, on notait la présence des parents de Freddie, Mme et M. Bomi Bulsara, de sa sœur Kashmira et du mari de celle-ci, Roger Cook, de Claude Nobs (Montreux Jazz Festival), de Brian May et Roger Taylor. Sur les rives du Lac Léman, appréciant la même vue que Freddie avait depuis sa maison au bord du lac, la statue du chanteur est un magnifique et durable hommage à cet homme qui aura pour toujours une place dans la mémoire de millions de personnes à travers le monde. 
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QUEEN : SHEER HEART ATTACK (1974)

25 Octobre 2009, 14:21pm

Publié par ANTHEVA

Queen, plutôt prolifique à l’époque, poursuit son petit bonhomme de chemin, et nous sert Sheer Heart Attack ,un album plus facile d’accès que l'époustouflant Queen 2 ,notamment en misant davantage sur l’efficacité des titres, qui n’excèdent pas 4 minutes 15 (excepté le morceau d’ouverture, Brighton Rock, de 5 minutes environ, notamment à cause de son solo de guitare), et qui tourneraient plutôt à une moyenne de 2 minutes 30. C’est plutôt un bon choix.
La première chose que l’on constate, c’est que Queen conserve, pour notre plaisir, son caractère fantasque avec une effronterie presque impertinente (si ce n’est pas une lapalissade, ça…), mené ici de manière plutôt joyeuse et spontanée. Le Brighton Rock qui ouvre l’album, après les bruits d’ambiance d’une fête foraine, commence avec célérité, sur les riffs effrénés de la guitare et le roulement de la batterie qui suit derrière, avant que Freddie Mercury ne vienne prendre ses fonctions régisseuses de sa voix glamour (ou la la !). Le ton est donné.
Dans l’ensemble, l’album est plus varié que les précédents, mais plus homogène au niveau de la qualité et de l’accroche. De ce fait, parmi les chansons à remarquer, on peut citer la majeure partie des titres de l’opus, comme le très entraînant Flick of the Wrist et la courte ballade qui le suit, Lily of the Valley, ou encore le frénétique déjanté Stone Cold Crazy (qui sera plombé plus tard par nos amis de Metallica). Roger Taylor est également plus convaincant sur Tenement Funster, un rock de facture assez classique, mais sympathique.
Evoquons encore en vrac le célèbre et entraînant Killer Queen, avec sa fameuse intro au piano et aux claquement de doigts, le joyeux Misfire, le court Dear Friends, soutenu par le piano seul, et chanté très agréablement (on constate en fin de compte que Freddie Mercury était déjà très fort lorsqu’il s’agissait de faire preuve de délicatesse et de sensibilité, ce qui lui manquait encore étant la puissance), le quelque peu psychédélique In the Lap of the God, qui sera complètement revisité à la fin de l’album sous la forme d’un hymne fédérateur, l’humoristique Bring Back That Leroy Brown, ou encore la ballade She Makes Me, au rythme pesant et chanté par Brian May. Et mine de rien, je viens de citer tout l’album…
D’un point de vue technique, la guitare continue son excellent travail de fond (sauf quand elle s’octroie quelques démonstrations flamboyantes, comme sur le déjà évoqué Brighton Rock), laissant le devant de la scène à la voix de Freddie Mercury, qui s’épaissit peu à peu, malgré tout, gagnant en assurance et en aplomb, et à ses chœurs de courtisans.
On remarque également que le groupe joue aussi beaucoup sur l’effet d’écho, de la guitare et de la voix notamment, comme en témoigne les morceaux Brighton Rock et Now I’m Here (et dont l’utilisation atteindra son paroxysme sur le Prophet’s Song de A night at the opera), ce qui confère une consistance certaine à la texture musicale.

Bref, il s’agit d’un bon album, avec des morceaux plutôt accrocheurs, où l’on voit le groupe étoffer son répertoire et asseoir son talent musical. Ce n’est pas le meilleur, c’est vrai, mais il possède malgré tout son charme. Et mon petit doigt me dit que la consécration est pour bientôt…

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L'ALBUM QUEEN II (1974).

24 Octobre 2009, 20:56pm

Publié par ANTHEVA


Queen II reste en majorité l'œuvre de Brian May et Freddie Mercury, en effet ils se sont partagé l'album en deux jouant sur le côté Blanc (May) et le côté Noir (Mercury).
Sur la face A, face blanche sur le vinyle original, Mr May nous fait une entrée de guitare grandiloquente avec « Procession », instrumental qui leur servira à ouvrir leurs concerts jusqu'en 1976. Celui ci s'enchaîne avec « Father to Son » hymne lyrique Hard Rock, style que Brian affectionne tous particulièrement, puis s'envient une des pièces maîtresses de l'album : « White Queen ». Douce ballade Mayenne extraordinaire comportant un passage instrumental de toute beauté. Brian avouera plus tard que «White Queen » reste la chanson dont il est le plus fier. « Some Day One Day » ne restera pas dans les annales et ne sera jamais joué en live, cependant ce titre très Folk n'en reste pas moins un témoignage du guitariste qui s'amuse à superposer les bandes jusqu'à enregistrer de façon subtile 5 guitares à la fois. C'est d'ailleurs lui même qui chante sur ce titre. En effet il a noté que dans la discographie deQueen et ce jusqu'au début des 80's, sur chaque album un titre était chanté par Brian et un parRoger Taylor. Ce lui là même qui composa « The Loser In The End » qui vient conclure la première face du LP. Il faut dire que la voie de Taylor, rocailleuse à souhait se prête très bien à cet exercice de style très Rock'n'Roll.
Mais là où Queen s'envole c'est sur la face noire totalement acquise à Mercury qui nous assaille d'emblée avec « Ogre Battle ». Riffs de guitares qui taillent le roc, chants grandiloquents, une fable Mercuryenne dans toute sa splendeur. On n'a pas le temps de se reposer que les premières mesures de « The Fairy Feller's Master Stroke » déferlent des HP. Musique alambiquée à souhait, montés et descentes de gammes réalisées avec tellement de subtilités... qu'on a du mal à se rendre compte de la difficulté de l'exercice. « Nevermore » arrive juste à point pour que l'on puisse reprendre son souffle... mais pas trop longtemps puisque « The March Of The Black Queen », morceau épique et purement progressif nous rentre dedans avec ses flots de guitares, des voix qui arrivent de toute part, une orchestration magique qui en fait le morceau pilier de l'album. Freddie à envie de calmer le jeu et nous propose « Funny How Love Is » gentille chansonnette au refrain pénétrant. Vient le final... et quel final ! «Seven Seas Of Rhye » casse la baraque, premier succès commercial du groupe, il emporte Queen vers les sommets de la gloire d'où ils ne redescendront jamais.

Queen II, deuxième opus du groupe reste un des albums les plus méconnus du chaland, mais en même temps un de ceux que les Die Hard Fans, comme moi, préfèrent. Il est la pierre angulaire, l'album le plus progressif du groupe.

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