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QUEEN - WHO WANTS TO LIVE FOREVER (1986)
Who Wants to Live Forever est une chanson écrite par Brian May pour le film Highlander dont Queen a signé la bande originale. La chanson est la sixième piste de l'album A Kind of Magic, sorti en juin 1986. Dans le film, elle sert à illustrer la romance entre le personnage principal, Connor MacLeod et sa femme, Heather, qui vieillit et finit par mourir alors que lui, en tant qu'Immortel, reste éternellement jeune. La chanson a également été réutilisée à plusieurs reprises dans la série télévisée tirée du film, Highlander.
La version qu'on entend dans le film est unique, puisqu'elle est entièrement chantée par Freddie Mercury, alors que les premières lignes des versions single et album sont chantées par Brian May.
Une version instrumentale de la chanson, Forever, est disponible en tant que bonus sur la version CD de l'album, mais pas sur le disque 33 tours. Cette version est entièrement interprétée au piano par Brian May.
QUEEN - BREAKTHRU (1989)

QUEEN - I WANT TO BREAK FREE (1984)
I Want to Break Free (John Deacon) est le deuxième single extrait de l'album The Works de Queen, sorti en avril 1984.
Deux versions de I Want to Break Free existent (sans compter la version extended, qui est en fait une version rallongée du single).
La chanson qu'on peut trouver sur l'album The Works est plus courte d'une minute que la version single : elle ne comporte pas la longue introduction au synthétiseur, ni les solos de guitare et de synthétiseur au milieu de la chanson. Ceci est assez rare puisqu'en général les versions single des chansons sont plus courtes que les versions album.
Les 45 tours promotionnels qui furent envoyés aux stations de radios par Capitol Records comportent les deux versions de la chanson.
Le clip de I Want to Break Free , réalisé par David Mallet, est une parodie d'un soap opera britannique, Coronation Street, qui existe depuis 1960. Tous les membres de Queen y sont habillés en femmes : on y voit Brian May, durant l'introduction, réveillé par un réveil à vapeur et qui croise successivement Freddie Mercury déguisé en femme de ménage (moustachue de surcroît) passant l'aspirateur, Roger Taylor en jeune étudiante préparant à manger, et John Deacon en vieille femme lisant son journal.
La porte du placard située sous l'escalier qu'ouvre ensuite Freddie Mercury nous conduit directement à la deuxième partie du clip, dans laquelle on voit le groupe (habillé normalement) entouré de fans et portant des casques de mineurs. Filmé dans un entrepôt à côté des Limehouse Studios, il y faisait apparemment très froid (on était alors en mars 1984).
La dernière partie du clip est une recréation d'un ballet de Vaslav Nijinsky, l'après-midi d'un faune, lui-même inspiré d'une œuvre de Claude Debussy, et interprété par le Royal Ballet. Freddie Mercury s'était beaucoup entraîné avec les membres du ballet et la scène, chorégraphiée par Wayne Eagling (actuel directeur artistique de l'English National Ballet), nécessita une journée de tournage. Cette séquence fut également très appréciée de certaines admiratrices, ravies de voir Freddie sans moustache- alors qu'elle apparaît dans le reste du clip…
Celui-ci fut interdit d'antenne aux États-Unis par la chaîne MTV et fut, d'après Brian May, assez néfaste pour les ventes de disques de Queen dans ce pays, du moins jusqu'au décès de Mercury
À la sortie du single, le clip promotionnel était alors le plus cher produit par Queen (encore plus que celui de Radio Ga Ga). I Want to Break Free devint une chanson très populaire, mais le film suscita plusieurs controverses, la plus importante concernant la séquence du ballet: Bien qu'il fût basé sur une chorégraphie de Nijinsky, Sir Kenneth MacMillan (directeur du Royal Ballet de 1970 à 1977) pensa que Wayne Eagling, chorégraphe de la séquence, avait emprunté quelques idées et notamment l'apparence des costumes à son propre ballet, The Rite of Spring. En conséquence de quoi, Queen Productions fit une donation d'un montant inconnu à une œuvre de charité choisie par MacMillan, The Institute of Choreology.
Un autre problème, plus connu celui-ci, vint de la séquence du travestissement: alors qu'il s'agissait de parodier le fameux soap-opéra Coronation Street, la presse britannique accusa Queen de «corrompre la jeunesse». Quant aux États-Unis, le clip y fut interdit d'antenne, contribuant au déclin de la popularité du groupe en Amérique- déjà mise à mal depuis le relatif échec de l'album précédent, Hot Space.
L'année suivante, lors du festival Rock in Rio se tenant à Rio de Janeiro, le groupe se produisait pour une foule de 250 000 personnes: Freddie Mercury interpréta la chanson dans la tenue qui avait fait scandale (avec une fausse poitrine encore plus imposante) jusqu'à ce que la foule devînt hostile et lui lançât des bouteilles et autres objets- Freddie Mercury se sépara vite de son déguisement et le pubic se calma. Après le concert, Queen apprit que la chanson était devenue en Amérique du Sud un véritable hymne à la libération et les spectateurs brésiliens, n'ayant jamais vu le clip à cause de la censure gouvernementale, avaient pris ce déguisement pour une provocation.
QUEEN : QUEEN ON FIRE - LIVE AT THE BOWL (1982)

Tout d’abord, observons la set-list,les titres « inédits » en live sont essentiellement tirés des albums the Game et Hot Space
Ensuite, il y a les inévitables classiques qui n’intéressent sans doute pas les fans mais qui restent un argument de vente pour le grand public (We Will Rock You, Bohemian Rhapsody, etc.). Au niveau donc du choix des titres, Live At The Bowl est à mon sens moins intéressant que les deux autres lives (car pas aussi varié que Wembley, et pas aussi attirant que Killers qui s’inscrit dans la grande période des 70’s).
Passons à l’écoute proprement dite : là, il faut bien avouer que les réticences premières auraient tendance à s’évanouir. Car la performance est d’excellente qualité, il faut bien le dire, encore une fois menée de main de maître par feu Freddie Mercury qui est au sommet de sa forme. Dans le même temps, la production y est aussi pour quelque chose, parvenant à équilibrer le son de chaque instrument sans que l’un d’eux ne se trouve lésé, sans oublier le public indispensable, très présent également. Il s’agit du gros point fort de ce live. De ce point de vue donc, il enterre le live Killers (qui pèche justement par sa production) sans dépasse le mythique live à Wembley. A défaut de véritable originalité, Live at the bowl se rattrape donc sur la qualité du son et de la prestation.
Les morceaux issus de Hot Space, album plutôt funky, passent finalement très bien l’épreuve du live et sonnent de manière résolument moderne avec leur groove accrocheur, grâce notamment à la guitare qui demeure rock pour l’occasion (Action this Day, Staying Power, Back Chat). Même chose pour le titre Dragon Attack, dans la même lignée, extrait de the Game. A part ça, les titres sont parfaitement interprétés, sauf peut-être Play the Game où Freddie n’est pas vraiment dans le ton. Le reste c’est du Queen comme on l’apprécie, très professionnel, puissant, électrisant la foule (avec l’habituel passage où Freddie la fait chanter – ici à la fin de Now I’m Here – : « Yeah yeah, cool cool, ohohohohoo !… » ^_^). Parmi les morceaux qui retiennent particulièrement mon attention, on trouve Somebody to Love, avec une excellente intro prétexte à une courte improvisation au piano et au chant, de toute beauté. On appréciera également l’inévitable ballade Love of my Life à la guitare acoustique, chantée comme toujours en duo avec la foule. On continuera à frissonner avec Save Me, également très réussi. Sur le deuxième disque, j’apprécie particulièrement Under Pressure, Fat Bottomed Girls et Crazy Little Thing Called Love. Le reste est plus convenu, bien que de très bonne facture. Les Another One Bites the Dust, We Will Rock You, We Are the Champion et autres Bohemian Rhapsody sont fidèles à eux-même, ni plus ni moins
Enfin voilà, il s’agit d’un bon live, même si pour moi le meilleur live reste celui de Wembley. Néanmoins Live at the bowl présente un attrait indéniable, à conseiller plutôt à ceux qui ne connaissent pas très bien le groupe et ses prestations en concert, déploiements d’une formidable énergie, et également aux adeptes inconditionnels de la Reine, qui n’ont d’ailleurs pas attendu ma chronique pour se le procurer. Avis aux amateurs, donc !
Biographie De Freddie Mercury Par Selim Rauer (2008)

Les puristes déploreront peut-être un passage trop rapide sur la période Ibex, ou encore sur la vie de Queen et ses rapports avec John, Brian et Roger (enfin, n'oublions pas qu'il s'agit d'une bio de Freddie et non du groupe).
Les autres regretteront le faible nombre d'anecdotes concernant les frasques de Freddie
Mais, au final cette biographie vaut franchement l'investissement :
D'abord pour sa qualité littéraire constante (ce qui est rare pour ce type d'ouvrages).
Ensuite par son évocation de l'homme au plus juste : Selim Rauer montre comment Farrokh est devenu Freddie Bulsara, puis Freddie Mercury, et s'intéresse tant au personnage public qu'au personnage privé, bien plus complexe, sans porter le moindre jugement quant à son mode de vie.
Enfin, l'évocation de la maladie et des dernières années est pudique, tout en nuances, franchement touchante.
Bref, si vous êtes fan, courrez vous la procurrer !
QUEEN - LIVE MAGIC (1986)
Live Magic est le deuxième album live de Queen, enregistré en Europe durant le Magic Tour en 1986.
Cet album, sorti en décembre 1986, est le second live du groupe Queen après le double album Live Killers (1979). Son nom est inspiré du dernier album studio A Kind of Magic, sorti quelques mois plus tôt. Plus que le contenu de Live Magic en lui-même, ce qui est remarquable est la photo intérieure de la double pochette : elle montre l'hélicoptère peint aux couleurs de Queen, survolant la marée humaine de Knebworth qui attend en ce 9 août 1986 ses idoles. Ils seront 120.000 fans à applaudir dans un environnement bocager la bande à Freddie Mercury et seront aussi, sans le savoir, les derniers témoins du dernier concert du groupe.
Comme Live Killers, c'est une compilation et non l'enregistrement d'un concert en particulier. Il restitue, de ce fait, un aperçu de la grande tournée que fut le Magic Tour de l'été 1986, composé de dates exclusivement européennes. Trois concerts ont été choisis pour composer ce Live Magic : les deux concerts du Wembley Stadium de juillet 1986 (qui sortira en double album six ans plus tard sous le nom Live at Wembley '86 (album), 2 x 72.000 spectateurs), celui du Nepstadion de Budapest (devant 80.000 spectateurs, ce fut la seule date de la carrière de Queen en Europe de l'Est) et enfin le dernier concert de la tournée, Knebworth en Angleterre (9 août, 120.000 spectateurs).Il fut sévèrement critiqué à sa sortie car c'est une compilation et certaines chansons ont été raccourcies, notamment Bohemian Rhapsody dont la section opéra a été enlevée. Aucun morceau ne sortit en 45 trs.
Que Dieu sauve la Reine… mais pas Queen !

Les gens voulaient des politiques moins coincés? Ils sont servis avec Harry Hamilton.Il était censé au départ briguer un poste de conseiller municipal à la mairie de Craigavon, mais l’homme a bien plus d’ambition: son parti, l’Ulster Unionist Party (UUP) l’a finalement choisi comme candidat pour les élections législatives de mai prochain, des élections nationales avec un poste de député à la clé.
Le choix d’un tel candidat en dit long sur le chemin parcouru par l’Ulster Unionist Party, hier synonyme d’intransigeance politique et de copinage avec les Orangistes, un parti qui a damé le pion pendant des décennies aux encore-plus-ultras du Democratic Unionist Party (DUP), le parti fondé par le pasteur intégriste Ian Paisley (pas mal calmé lui aussi, d’ailleurs).
L’Ulster Unionist Party, qui avait pris le risque de soutenir les accords de paix, a vu ses adhérents les plus radicaux quitter cette formation et son soutien électoral fondre comme neige au soleil, tant et si bien qu’à Ballybán (pour ne citer qu’un exemple), les conseillers municipaux UUP, jadis largement majoritaires, ne sont plus qu’au nombre de cinq, contre six pour le DUP (et même sept au départ avant qu’un des leurs ne les quitte pour rejoindre une formation encore plus dure!).
Mais «chaque nuage est bordé d’un liseré d’argent», comme le disent si poétiquement les Anglo-Saxons, et l’UUP est en train, péniblement, de renaître de ses cendres en tentant d’imposer une image résolument nouvelle: exit le protestantisme austère et vive Flash Harry, un candidat moderne, apprécié en tant qu’artiste, et qui ne se prend pas au sérieux.
Évidemment, ce n’est pas du goût de tout le monde, et notre journal commence déjà à recevoir des lettres de «gardiens du temple» (si j’ose dire!) un peu inquiets de voir qu’un artiste, apparemment aussi exubérant que son clone -tout au moins sur scène- envisage de siéger à la docte chambre des Communes de Westminster. Le défunt Lord Edward Carson (1854-1935), figure de référence de la vieille garde unioniste protestante, se retournerait dans sa tombe!
Un lecteur, donc, nous a écrit pour nous faire part de sa désapprobation. Ayant épluché le site de Flash Harry à la loupe, il relève que Harry Hamilton, apparemment plutôt rangé comparé au reste du groupe, aime désormais boire un coup et -trait encore plus infâmant- qu’il aime s’habiller en femme pour ses prestations scéniques!
Il n’en faut pas plus à ce lecteur pour qu’il prononce Harry Hamilton coupable de «cross dressing», comprenez: de s’habiller en femme, ce qui est contre nature car contre la Bible (oui, apparemment, la Bible fustige les hommes qui s’habillent en femme et vice-versa)! Notre zélé lecteur a d’ailleurs fini par découvrir une pièce à conviction sans appel: une photo de Harry portant une jupe!
Contradiction amusante en aparté: en Irlande du Nord, la droite religieuse côté protestant se trouve de grandes affinités culturelles et religieuses avec l’Écosse… province connue pour ses hommes en jupe (pardon, en kilt!) jouant de la cornemuse…
Mais bon, il faut espérer que Harry Hamilton le candidat, et Flash Harry la bête de scène, se remettront de ces attaques plutôt mesquines… Et puis, essayez de chanter «I Want to Break Free» sur scène habillé en homme, vous verrez… Le clip vidéo a tellement marqué les esprits qu’on vous enverrait aussitôt vous rhabiller (si j’ose dire!).
Les autres musiciens du groupe restent serein: ainsi, le membre fondateur de «Flash Harry» expliquait récemment dans le «Lurgan Mail» que si les opinions politiques de Harry Hamilton n’engagent que lui, les membres du groupe -tant catholiques que protestants- sont à fond derrière lui.
Reste donc à savoir quelle réception la vieille garde unioniste, connue pour son attachement à la couronne britannique, fera à Harry Hamilton… Des ultra-conservateurs dont le slogan pourrait être: «Que Dieu sauve la Reine… mais pas Queen»!
FREDDIE MERCURY & DAVID BOWIE, les "Vénus de Milo" du rock
Campagne d'affichage de la radio City FM (Pays-Bas) : Freddie Mercury et David Bowie, les "Vénus de Milo" du rock.
Une radio des Pays-Bas, radio City FM, clame haut et fort son amour du rock et l'affiche en 4x3 avec des photos de bustes des plus grandes stars du genre. Comme pour Freddie Mercury, c'est tellement beau que les bras m'en tombent. La campagne a été déclinée en deux autres versions : une avec Gene Simmons, la langue très pendue du groupe Kiss et l'immortel David Bowie :
Bravo pour ces statues en plâtre criantes de réalisme.
FREDDIE MERCURY & MICHAEL JACKSON AU PARADIS!
Quand Freddie Mercury fait le ménage au paradis et que Michael Jackson débarque.
Des petites marionettes en 3D pour un très bon résultat .