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Queenworld.fr

brian may

BRIAN MAY - FURIA (2000)

6 Décembre 2009, 21:13pm

Publié par ANTHEVA

 Rock-my-world.Fr


Furia est un film du réalisateur Alexandre Aja, sorti en aout 2000, avec Stanislas Merhar , Marion Cotillard , Wadeck Stanczak ...

Synopsis : Dans une civilisation dévastée par une guerre passée, où toute liberté n'existe plus, où ceux qui écrivent sur les murs sont arrêtés, torturés ou tués, Théo, 20 ans, sort chaque nuit dans les rues pour dessiner. Il rencontre Elia, une jeune fille qui dessine elle aussi. Commence alors, au rythme des dessins, une histoire d'amour étrange et passionnée...

Alexandre Aja, jeune réalisateur français, n'osait même pas rêver de travailler avec le guitariste de Queen. Surprise, lorsqu'il lui envoie le synopsis, puis des dessins, et enfin, quelques images,Brian May est tellement secoué par le projet qu'il se demande s'il va être capable d'en composer la bande-son. Attiré par le côté romantique de "Furia", il a décidé de composer d'abord le thème, une belle réussite où sa guitare chante littéralement l'espoir sur une ambiance qui n'aurait pas déplu au Peter Gabriel de "La Dernière Tentation du Christ". Puis, il a choisi "d'opposer le son classique d'un orchestre symphonique à celui des instruments actuels". Ce qui donne des passages évoquant Mahler et d'autres s'aventurant carrément en territoire drum'n'bass. Au résultat, une B.O.F très impressionnante, qui ne devrait pas seulement ravir les nombreux fans de Queen, mais définitivement installer Brian May au rang des musiciens les plus perfectionnistes et les plus ambitieux à avoir émergé de la scène rock des années 70.

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ENTRETIEN AVEC BRIAN MAY - FLASHBACK 1993

6 Décembre 2009, 01:30am

Publié par ANTHEVA


Recyclé solo dans l’indifférence générale, Brian May, le guitar-hero de Queen , réticent dans un premier temps, a accepté de se souvenir de la Reine. Voici ses états d’âme mélancoliques tels que recueillis en decembre 1993, alors que l’actu Queen bat son plein et qu’on parle déjà d’un nouvel album tirés de bandes inédites sur lesquelles Freddie avait couché des esquisses de voix.


Cliquez ici pour la suite de l'article

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BRIAN MAY - BOMBER X

5 Décembre 2009, 10:41am

Publié par ANTHEVA

 Rock-my-world.Fr


Le coffret de la série Bomber X vient ENFIN de sortir chez nous  recemment et on peut y trouver parmi les bonus le clip Starfleet de notre Brian May préféré:il s'agit donc de la premiere edition officielle de ce clip(en tous cas,chez nous!!)
Cette serie de marionnettes qui rapelle,dans sa forme,Thunderbirds(sentinelles de l'air)est une série japonnaise de science fiction créée par Go Nagai,créateur légendaire du non moins légendaire Goldorak!
Chez nous,elle est plutôt passée innaperçue sur TF1 dans les années 80 mais en angleterre,elle a fait un tabac et c'est en regardant cette serie avec son fils que Brian May a eu l'idée de faire une reprise du générique anglais à la sauce hard-rock!!

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BRIAN MAY - ANOTHER WORLD (1998)

30 Novembre 2009, 23:14pm

Publié par ANTHEVA

Rock-my-world.FrLe disque qui nous est servi fait preuve d’une grande homogénéité, proprement produit, et témoigne d’un travail consciencieux de composition (avec en supplément quelques reprises). De fait, il n’y a quasiment pas de titres vraiment faibles. Sans grande surprise, le tout est axé sur les guitares, très solides, et c’est une bonne chose. Pour l’occasion, on retrouve Cozy Powell derrière les fûts sur la majeure partie des morceaux (notons que le fameux batteur mourra dans un accident de voiture peu de temps avant la sortie de l'album, qui est de fait dédié à sa mémoire). Autre point notable, Brian May a gagné en aplomb au niveau du chant et cela est particulièrement appréciable sur les titres les plus musclés.
Au menu, passée une courte intro atmosphérique intitulée « Space », on aura le droit à de très bonnes tranches de rock vigoureux, comme « Business » qui alterne entre l’orage de riffs et sa rythmique pesante et accalmies lyriques, le déjanté « China Belle » avec sa guitare tournoyante, épicée de quelques touches orientales, ou bien encore « Cyborg », seul titre sans conteste hard-rock, où la trame sonore tissée par la/les guitare(s) paraît en ébullition, soutenue par la batterie énergique de Taylor Hawkins (Foo Fighters), petite leçon de genre.
Dans une perspective plus pondérée, on trouve des morceaux qui lorgnent du côté du rock à l’ancienne, comme en témoigne le rock’n’roll accrocheur de « On my Way Up », le rockabilly décomplexé, rehaussé d’une impulsion électrique de « Slow Down » (reprise de Larry Williams) et de « All the Way From Memphis » (reprise de Ian Hunter), le bluesy et humoristique « The Guv’nor » qui voit l’intervention guitaristique de Jeff Beck et un petit clin d'oeil à l'album A Kind of Magic de Queen (« don't lose your head »...) ou bien le psychédélique « One Rainy Wish » (repris de Jimi Hendrix), qui louvoie entre ballade sereine et déferlante électrique. A cet endroit, le résultat est mitigé : les deux derniers cités, « The Guv’nor », « One Rainy Wish », sont les titres, à mon sens, les moins intéressants de l’album, alors que les trois autres varient entre le sympa, « On my Way Up », et le stimulant, l’enthousiasmant, « Slow Down », « All the Way From Memphis » (à défaut d’être original).
Enfin, Brian May nous sert trois ballades, dopées à la mélancolie et nanties de jolis arrangements de guitare subtile, de piano et de synthé, qui lui permettent d’exploiter sans trop de risque la corde sensible de sa voix : « Why Don’t We Try Again », l’ambitieux et crépusculaire « Wilderness » et le morceau titre, l’intimiste « Another World », doté d’un joli passage à la guitare flamenco et de paroles tristounettes. Si l’on n’est pas a priori allergique à ce genre d’exercices, les trois morceaux sont franchement agréables et s’insèrent parfaitement entre les morceaux plus musclés de l’album.

Ainsi, nous sommes loin d’une révolution musicale, mais ce n’est franchement pas l’intérêt d’un tel disque. On a à faire à du rock, bien agencé, qui va puiser dans le passé diverses influences pour varier sa recette. On balaie le large spectre des émotions, entre humour, optimisme et mélancolie. C’est propre, énergique, mélodique. Bref, il n’y a vraiment pas de quoi bouder son plaisir. Comparé à Back to the Light, Another World est nettement au dessus, homogène en terme de qualité, même si il manque peut-être un ou deux tubes pour en faire un album indispensable. Mais l’on retrouve sans conteste le talent d’une des têtes pensantes de Queen. Il est d’ailleurs dommage que Brian May n’ait pas sorti de nouveau matériel depuis (hormis pour une B.O. de film, Furia). Rendez-vous au prochain album ?

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A VILLAGE LOST AND FOUND - Brian May & Elena Vidal

26 Novembre 2009, 16:00pm

Publié par ANTHEVA

Après trente ans de recherches, le guitariste du groupe Queen, Brian May, a réalisé un rêve d'enfance en retrouvant la trace d'un village anglais photographié en clichés "3D" couleurs il y a 150 ans environ, dont il a tiré un livre. Dans les années 1850, le photographe T. R. Williams essaie son talent sur un village de son enfance, immortalisant la vie quotidienne sur des clichés stéréoscopiques, peints à la main de couleurs vives. Mais jamais, il ne dévoile le nom du bourg qu'il avait choisi. Le mystère allait captiver le jeune Brian May, bien avant qu'il ne fonde le groupe britannique Queen avec le chanteur Freddie Mercury. Bien avant qu'il n'écrive des tubes légendaires comme We Will Rock You, The Show Must Go On ou Flash.



Très tôt, j'ai été captivé par les images 3D", raconte à l'AFP Brian May, aujourd'hui âgé de 62 ans. "Pour moi, c'était de la magie. Je me demandais pourquoi les gens ne prenaient pas toujours des images 3D. J'ai commencé à collectionner les cartes en 3D et j'ai réalisé qu'on pouvait avoir des cartes qui datent des tout débuts de la photographie". C'est alors qu'il tombe sur les 59 clichés de T. R. Williams, dépeignant la vie rustique d'un village d'une campagne aussi anglaise que profonde mais resté mystérieux. Le jeune guitariste décide de partir à sa recherche. "J'ai tourné en rond pendant trente ans, me demandant où ce village se trouvait", se souvient-il. Il lance un appel sur l'internet, promettant au passage de récompenser avec un souvenir de Queen tout indice qui porterait ses fruits. La chasse a fini par payer: le village s'appelle Hinton Waldrist, une paroisse d'à peine plus de trois cents habitants, avec son église du XIIIe siècle, ses maisons à toit de chaume et ses prés à l'herbe grasse: pas loin des images immortalisées par Williams il y a plus d'un siècle et demi.



Brian May décide d'écrire un livre intitulé A Village Lost And Found ("un village perdu et retrouvé"). L'artiste, un touche-à-tout qui a plus d'une corde à sa guitare - il est également docteur en astrophysique - , a inventé des lunettes spéciales, vendues avec le livre, qui permettent de voir les images stéréoscopiques en trois dimensions. "Les gens sont toujours très, très surpris quand ils voient l'effet que ça fait", raconte l'historienne espagnole de la photographie Elena Vidal, qui a co-écrit l'ouvrage. "Vous avez vraiment l'impression que vous pouvez marcher dans la photo et rencontrer tous ces gens". Pour Brian May, le livre représente "l'accomplissement d'un rêve: ramener dans son village natal ce que nous estimons être une oeuvre d'art inestimable et la montrer à un nouveau public, du XXIe siècle". Dans une ancienne grange à toit de chaume de Hinton Waldrist, où avait lieu il y a quelques jours la présentation du livre, Brian May semble éprouver autant de plaisir que quand il jouait dans des stades gigantesques pour le groupe Queen. "Ce n'est pas le spectacle le plus grand que j'ai fait mais c'est l'un des plus intéressants".

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BRIAN MAY - LIVE AT BRIXTON ACADEMY (1994)

25 Novembre 2009, 18:49pm

Publié par ANTHEVA

Rock-my-world.FrAprès la sortie de son premier album solo, Back to the Light, Brian May effectua dans le courant de 92 et 93 plusieurs mini-tournées, dont l’une aux Etats-Unis en première partie de Guns N’Roses. Le concert londonien à la Brixton Academy se déroula quelques temps plus tard, le 15 juin 1993. « Son » groupe est alors composé notamment du fameux Cozy Powell à la batterie, de Neil Murray à la basse et de Spike Edney aux claviers, mais également, en renfort, d’un second guitariste, Jamie Moses, et d’un choeur de deux jeunes femmes, Cathy Porter et Shelley Preston, idée plutôt judicieuse, étant donné la difficulté (obligatoire) qu’a Brian pour tenir et le chant et la guitare sans délaisser le show...

Le résultat se révèle plutôt intéressant, avec une set-list qui met l’accent sur les guitares musclées. On retrouvera donc une bonne partie des morceaux de Back to the Light, mais aussi des compositions typiquement hard rock de Queen, aubaines pour les jeux de riffs et le déploiement de solos, tel que « Tie Your Mother Down », « Headlong », « Now I’m Here », « We Will Rock You », remodelé pour l’occasion en un mix de la version habituelle et de la version alternative plus speedée et saturée que l’on peut entendre sur leLive Killer et le Live at the Bowl, et enfin « Hammer to Fall ».
Concernant la prestation, l’ensemble est de qualité, les parties de guitares sont impeccables et Cozy Powell est une fois de plus excellent. Brian ne s’économise pas non plus au chant, ce qui est franchement enthousiasmant. Malheureusement, il faut bien avouer que ses cordes vocales ont un peu de mal à tenir l’ensemble du concert, et flirtent parfois avec la cassure et les dissonances. C’est là que le choeur féminin vient l’aider, le plus souvent au niveau des refrains. Toutefois, c’est assez amusant d’entendre Brian chanter « Headlong » avec une voix grave, presque sauvage.

Ainsi, le premier tiers du concert est foncièrement hard-rock, bourré d’énergie et communicateur. Brian a un peu de mal pour le chant de « Tie Your Mother Down », mais on a le droit à de bonnes parties de guitares. Le rythme se calme ensuite avec un peu d’acoustique et de la ballade émotionnelle. « Too Much Love Will Kill You » passe d’ailleurs plutôt bien l’épreuve du live. Après, ça repart avec le tube de Rainbow (reprise de Russ Ballard), « Since You’ve Been Gone », que je considère comme l’une des bonnes surprises du concert, mais on en vient aussitôt après à regretter l’enchaînement de « Now I’m Here » et du traditionnel exercice de solo de guitare, qui cassent à nouveau le rythme et de manière malheureuse cette fois, parce que c’est un peu soporifique.

Heureusement, le génial « Resurrection » succède ensuite, un peu raté niveau chant mais pas des instrus, et sous une forme étendue : à la place du jouissif solo de guitare de la version studio, on a le droit à un solo de batterie (un peu moins pertinent, mais sympa dans le contexte), qui fraye un moment avec un sample de la coda de l’Ouverture 1812 de Tchaïkovski (!) pour ensuite enchaîner avec la partie finale de « Bohemian Rhapsody » (!!) avant de se terminer normalement, comme si de rien était. Un moment baroque, un peu timbré, pour tout dire. Reste ensuite trois titres pour conclure. « Hammer to Fall » n’est peut-être pas le meilleur pour clôturer un set, mais ce n’est pas non plus le pire.

Il s’agit donc d’un concert tout à fait sympathique, qui ne provoque peut-être pas la jubilation électrique des meilleurs de Queen, mais qui se défend honorablement. Le public est assez présent, le point culminant étant « Love of my Life » et « We Will Rock You », comme toujours, et de manière globale, la production est de qualité. Je reconnais que ce disque est nettement moins connu que les lives parus sous le nom de Queen, mais il constitue une alternative originale : moins redondant que le Live at the Bowl et moins prétentieux que le Return of the Champions, il mérite tout à fait que l’on s’y intéresse. Avis aux amateurs.

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SUPERBE SOLO DE BRIAN MAY - LAST HORIZON

21 Novembre 2009, 12:14pm

Publié par ANTHEVA

 


« Last Horizon », tiré de l'album "Back to the light" de 1992, est une jolie ballade instrumentale, nantie d’une ligne mélodique à la guitare très romantique, qui rappelle un certain Joe Satriani.
Extrait du DVD  "Return Of The Champions" enregistré à  Sheffield, Angleterre en  2005.
Enjoy !

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BRIAN MAY - BACK TO THE LIGHT (1992)

16 Novembre 2009, 22:03pm

Publié par ANTHEVA

nullAlors que fin 1991 l’avenir de Queen semble sérieusement compromis par la mort de Freddie Mercury,Brian May met le pied à l’étrier afin de sortir son premier album solo, qui regroupe une série de morceaux composés pour la plupart dans le courant des années 80. Là où les projets solos de Mercury se dirigeaient plutôt vers la pop, ceux de May sont très nettement tournés vers le rock/hard-rock, qui laisse évidemment une part de choix au jeu de la guitare.
Back to the Light apparaît alors comme un substrat de la facette rock de Queen (la meilleure, soyons honnête), alternant donc des titres puissants à accentuation hard, hard fm, avec des morceaux plus calmes, ballades ou rocks plus posés. En conséquence, l’originalité n’est pas franchement au rendez-vous, mais la qualité, si, plutôt.


Passé l’intro, « Dark », qui marie ambiance atmosphérique, saturation électrique et arrangements orchestraux, on peut découper l’album entre le côté hard et le côté doux de la force. Côté rock, on a le très bon morceau titre, qui alterne couplets mélancoliques avec synthé et montées en puissance électriques, sorte de « Show Must Go On » pondéré, plus positif et lumineux en fin de compte. « Love Token », ensuite, accroche l’oreille à son tour avec une batterie vigoureuse et de gros riffs pourvus d’un groove certain. A part le break, qui est assez moche, la sauce prend jusque là plutôt bien. Dans la famille des titres sympathiques, on notera encore « Driven by You », avec des arrangements claviers/guitare plutôt plaisants. Par contre, « I’m Scared » et « Rollin’ Over », qui est chanté en duo avec Chris Thompson, apparaissent comme plus anecdotiques, malgré des teintes rock’n’roll intéressantes (à ce titre, la guitare sur « Rolling Over » est vraiment déchaînée).
Et l’album possède aussi « Resurrection ». Le Titre. Géniale démonstration de hard rock, construit à la perfection, de manière très carrée, avec un Cozy Powell impérial, des guitares héroïques qui virevoltent dans tous les sens, un break solennel, et un solo de guitare en tapping complètement jouissif… Le morceau qui excuse la faiblesse d’une seconde partie d’album un ton en dessous. Initialement écrit sous la forme d’un instrumental par Cozy Powell et Jamie Page (à ne pas confondre avec JIMMY Page... merci), auquel Brian May ajouta parties de guitares et paroles inspirées, Resurrection dépasse vraiment de loin le reste du disque. Seul le chant pourra sembler un peu limité, mais l’excellence du reste pardonne tout.

Du côté plus paisible, ma préférence revient à « Too Much Love Will Kill You », magnifique complainte, joliment arrangée et dotée de paroles ciselées, même si la version référentielle sera celle que l’on pourra entendre sur Made In Heaven, où Freddie Mercury lui confèrera la puissance vocale requise. Passons sur le bluesy « Nothin’ But Blue », inspiré par Joe Satriani, et « Just One Life », qui versent dans l’émotion, mais toutefois avec une certaine fadeur. « Last Horizon » ensuite est une jolie ballade instrumentale, nantie d’une ligne mélodique à la guitare très romantique, qui rappelle à nouveau Satriani. « Let Your Heart Rule Your Head » enfin se démarque en jouant la carte de l’acoustique à consonance country, rappelant en ce sens le titre « ‘39 » d’ANATO, mais en plus fun. Cool, mais pas ultime.

Ainsi, Back to the Light est plutôt un bon album : excellent dans sa première partie, un peu plus poussif dans la seconde. L’empreinte de Queen demeure très perceptible, là où Another World tentera une approche un peu plus personnelle. Maintenant, il m’est difficile de lui attribuer une note précise, tant je suis partagé entre le plaisir que me laissent certains morceaux et l’impression malgré tout mitigée que me laisse l’ensemble. Entre trois et quatre, suivant les jours… Dans cette perspective, l’album solo suivant se révèlera plus homogène et malgré l’absence de pépites à la « Resurrection », il apparaîtra donc probablement comme meilleur.

  - Brian May (chant, guitare, clavier, etc.)
       - Cozy Powell (batterie)
       - Geoff Dugmore (batterie)
       - Gary Tibbs (basse)
       - Neil Murray (basse)
       - John Deacon (basse)
       - Mike Moran (clavier, piano)
       - Don Airey (clavier)
       - Chris Thompson (chant, choeur)
       - Miriam Stockley (choeur)
       - Maggie Ryder (choeur)
       - Suzie O'list (choeur)
       - Gill O'donovan (choeur)

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BRIAN MAY - CHILDREN IN NEED

7 Novembre 2009, 20:46pm

Publié par ANTHEVA



Reprise du classique des Beatles "All You Need Is Love" enregistré à des fins caritatives pour l'association "Children In Need" avec Brian May,Peter Gabriel,Bryan Ferry et d'autres sous le nom "Bandaged Together" .
Brian May a enregistré séparément des autres, ce qui fait que l'on ne peut pas le rater à l'image !

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Burns Brian May Signature Red Special

7 Novembre 2009, 15:45pm

Publié par ANTHEVA

La Brian May's Red Special fait partie des guitares iconiques, à l'instar de la Strat Blanche de Jimi Hendrix, de la '58 Les Paul Standard De Jimmy Page ou de l' Esquire de Jeff Beck's.
 Cette guitare unique de part les sonorités qu'elle distille et de part ses origines ( fabriquée 'à la maison' par Brian et son père ) est proposée par Burns à un tarif démocratique. C'est un instrument au caractère marqué qui possède malgré tout une grande polyvalence grâce à son système de switchs trés complet, offrant 16 combinaisons différentes.
 Qualitativement parlant, on est dans le trés bon avec un assemblage quasi parfait et un superbe frettage.

Spécification Techniques:
. Type : guitare electrique semi-hollowbody
. Série :
. Provenance : Corée
. Corps : Acajou avec chambre acoustique
. Manche : collé en Acajou / touche Ebène, 24 frettes, profil 'D'
. Diapason : 610mm (24")
. Largeur au sillet : 45 mm
. Largeur à la 24eme frette : 57 mm
. Micros : 3 simple bobinage Burns Tri-Sonic style 'early sixties'
. Contrôles : 1 switch On/Off + 1 switch de renversement de phase par micro ( 27 combinaisons au total, 16 différentes ) - 1 volume - 1 tonalité
. Vibrato : Brian May Custom
. Mécaniques : Grover GH305 auto blocantes
. Accastillage : chrome
. Coloris : Antique Cherry
. Accessoires optionnels : housse Burns Deluxe
Prix: A partir de 850 €

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