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Queenworld.fr

BRIAN MAY - ANOTHER WORLD (1998)

30 Novembre 2009, 23:14pm

Publié par ANTHEVA

Rock-my-world.FrLe disque qui nous est servi fait preuve d’une grande homogénéité, proprement produit, et témoigne d’un travail consciencieux de composition (avec en supplément quelques reprises). De fait, il n’y a quasiment pas de titres vraiment faibles. Sans grande surprise, le tout est axé sur les guitares, très solides, et c’est une bonne chose. Pour l’occasion, on retrouve Cozy Powell derrière les fûts sur la majeure partie des morceaux (notons que le fameux batteur mourra dans un accident de voiture peu de temps avant la sortie de l'album, qui est de fait dédié à sa mémoire). Autre point notable, Brian May a gagné en aplomb au niveau du chant et cela est particulièrement appréciable sur les titres les plus musclés.
Au menu, passée une courte intro atmosphérique intitulée « Space », on aura le droit à de très bonnes tranches de rock vigoureux, comme « Business » qui alterne entre l’orage de riffs et sa rythmique pesante et accalmies lyriques, le déjanté « China Belle » avec sa guitare tournoyante, épicée de quelques touches orientales, ou bien encore « Cyborg », seul titre sans conteste hard-rock, où la trame sonore tissée par la/les guitare(s) paraît en ébullition, soutenue par la batterie énergique de Taylor Hawkins (Foo Fighters), petite leçon de genre.
Dans une perspective plus pondérée, on trouve des morceaux qui lorgnent du côté du rock à l’ancienne, comme en témoigne le rock’n’roll accrocheur de « On my Way Up », le rockabilly décomplexé, rehaussé d’une impulsion électrique de « Slow Down » (reprise de Larry Williams) et de « All the Way From Memphis » (reprise de Ian Hunter), le bluesy et humoristique « The Guv’nor » qui voit l’intervention guitaristique de Jeff Beck et un petit clin d'oeil à l'album A Kind of Magic de Queen (« don't lose your head »...) ou bien le psychédélique « One Rainy Wish » (repris de Jimi Hendrix), qui louvoie entre ballade sereine et déferlante électrique. A cet endroit, le résultat est mitigé : les deux derniers cités, « The Guv’nor », « One Rainy Wish », sont les titres, à mon sens, les moins intéressants de l’album, alors que les trois autres varient entre le sympa, « On my Way Up », et le stimulant, l’enthousiasmant, « Slow Down », « All the Way From Memphis » (à défaut d’être original).
Enfin, Brian May nous sert trois ballades, dopées à la mélancolie et nanties de jolis arrangements de guitare subtile, de piano et de synthé, qui lui permettent d’exploiter sans trop de risque la corde sensible de sa voix : « Why Don’t We Try Again », l’ambitieux et crépusculaire « Wilderness » et le morceau titre, l’intimiste « Another World », doté d’un joli passage à la guitare flamenco et de paroles tristounettes. Si l’on n’est pas a priori allergique à ce genre d’exercices, les trois morceaux sont franchement agréables et s’insèrent parfaitement entre les morceaux plus musclés de l’album.

Ainsi, nous sommes loin d’une révolution musicale, mais ce n’est franchement pas l’intérêt d’un tel disque. On a à faire à du rock, bien agencé, qui va puiser dans le passé diverses influences pour varier sa recette. On balaie le large spectre des émotions, entre humour, optimisme et mélancolie. C’est propre, énergique, mélodique. Bref, il n’y a vraiment pas de quoi bouder son plaisir. Comparé à Back to the Light, Another World est nettement au dessus, homogène en terme de qualité, même si il manque peut-être un ou deux tubes pour en faire un album indispensable. Mais l’on retrouve sans conteste le talent d’une des têtes pensantes de Queen. Il est d’ailleurs dommage que Brian May n’ait pas sorti de nouveau matériel depuis (hormis pour une B.O. de film, Furia). Rendez-vous au prochain album ?

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QUEEN - Killer Queen (Dutch TV 1974 )

30 Novembre 2009, 22:59pm

Publié par ANTHEVA



Vidéo rare du groupe Queen, lors d'une session d'enregistrement, pour une émission musicale Allemande en 1974.

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BIOGRAPHIE PAUL RODGERS

30 Novembre 2009, 16:54pm

Publié par ANTHEVA

Rock-my-world.Fr

Paul Rodgers, (né le 17 décembre 1949, à Middlesbrough - Royaume-Uni) est un musicien britannique. Chanteur à la voix blues et rauque reconnu comme étant un des meilleurs chanteurs de blues-rock actuel, il est principalement connu pour avoir été membre des groupes Free, Bad Company et The Firm qu'il avait fondé avec Jimmy Page.

En 2005, Paul Rodgers et les membres restants de Queen, Brian May et Roger Taylor, s'associent pour une tournée sous le nom de Queen+Paul Rodgers qui les voit se produire dans le monde entier. Le groupe n'en est pas à sa première collaboration avec d'autre artistes, Queen s'étant produit plusieurs fois après le décès de Freddie Mercury avec d'autres chanteurs sous le nom de Queen+... (avec notamment Elton John et George Michael). Paul Rodgers n'est pas le remplaçant officiel deFreddie Mercury, mais sa collaboration est mise à égal avec les autres membres de Queen. Ce groupe est donc une nouvelle entité distincte du Queen originel, Paul Rodgers se produisant avec Queen en tant qu'invité permanent.

La tournée, intitulée Return of the Champions, voit le groupe reprendre les chansons de Queen ainsi que les grands classiques de Paul Rodgers (All Right Now, Feel Like Makin Love, Can't Get Enough, Wishing Well...). Le groupe sort un DVD live et prend le chemin des studios pour sortir un nouvel album intitulé The Cosmos Rocks qui est paru le le 14 septembre 2008. Cet album a été accompagné d'une tournée mondiale qui est passée par la France à Bercy le 24 septembre 2008.

La voix de Paul Rodgers, plus "bluesy" et rauque que celle de Freddie Mercury, ainsi que ses réinterprétations des classiques du groupe ont divisé les critiques mais ont cependant établi l'unanimité sur un point : Freddie Mercury sera à jamais irremplaçable !

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CONCOURS ROCK-MY-WORLD.FR - EMI : INSCRIPTION! (BIS)

30 Novembre 2009, 08:06am

Publié par ANTHEVA

Rock-my-world.Fr 

Participez au grand jeu concours gratuit ABSOLUTE GREATEST Par ROCK-MY-WORLD.FR, du 21 novembre au 16 decembre 2009, et tentez de gagner l’un des nombreux cadeaux mis en jeu !

5 Exemplaires de l'édition limitée d' "Absolute Greatest"

10 Livres sur Freddie Mercury (en anglais) non défini

20 Affiches Queen "Absolute Greatest"

Les regles sont trés simples, inscrivez-vous sur le site, dans la section "Newsletter", et répondez au questionnaire suivant:


Rock-my-world.Fr
Envoyez vos réponses à Rock.My.World@aliceadsl.fr avant le 16 decembre minuit.

le tirage au sort des gagnants aura lieu le jeudi 17 decembre 2009


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ROGER TAYLOR - HAPPINESS ? (1994)

29 Novembre 2009, 18:03pm

Publié par ANTHEVA

Rock-my-world.FrRoger Taylor, ancien batteur de Queen, a toujours été le membre qui se démarquait le plus au sein de cette formation ô combien connue et respectée désormais. En effet, jusqu’en 1982, il est le seul membre du groupe à chanter toutes les chansons qu’il écrit à la place de Freddie Mercury. Il est le premier à sortir un album solo en 1981 (Fun In Space) et remet le couvert en 1984 avec Strange Frontier. Il fonde en 1988 le groupe The Cross, avec lequel il sortira trois albums qui passent pour ainsi dire inaperçus… Peu importe, Roger Taylor a de l’énergie à revendre, comme on le voit sur ses compositions queeniennes même si les dernières sont plus douces et mélancoliques… Happiness ? se distingue par cette alliance entre titres nerveux et compositions plus posées. L’intérêt de cet album réside également dans son caractère très personnel, Roger Taylor étant à la fois producteur, compositeur, interprète et musicien.

L’ensemble est très propre, plutôt homogène et assez éloigné de l’univers de Queen. Et c’est tant mieux même si on remarquera quelques réminiscences de la grande époque queenienne. Le disque n’a pourtant pas l’ambition d’exploser les charts, et on ne s’en plaindra pas. On retiendra l’aspect authentique et parfois engagé des morceaux, « Nazis 1994 » en tête. Il s’agit d’une diatribe ultra-directe contre les néo-nazis ; le texte est simple et sans détour, ne permettant aucun compromis ni aucune alternative. La musique convient parfaitement, n’étant pas explosive mais plutôt contenue et épurée malgré une rythmique très appuyée. Ce titre est une réussite tout comme « Revelations », énergique et travaillé, à la structure basique, basée sur des couplets calmes et une montée en puissance limpide et entraînante lors des refrains. La mayonnaise prend également sur « Touch The Sky » et son intro sereine tandis que « Foreign Sand » est une ballade émouvante où la voix éraillée de Roger Taylor s’exprime à merveille. Les performances vocales du principal intéressé sont d’ailleurs excellentes de bout en bout. Il est à l’aise et nous offre un condensé de ses possibilités, déjà éprouvées avec Queen. Toujours dans un registre très serein, « You Had To Be There » est meilleur que « Freedom Train » alors que « The Key » nous sort de notre légère torpeur.
Roger Taylor nous surprend avec ce disque, car on le savait capable de livrer des chansons mélancoliques, mais on ne le soupçonnait pas de tenir dans ce registre le temps d’un album, qui s’essouffle quelque peu avec les plus dispensables « Loneliness » et « Dear Mr Murdoch ». On gardera plus en tête le très intelligent « Everybody Hurts Sometimes » ou encore le nostalgique « Old Friends ». On retiendra avec plus de conviction encore la perle de ce disque, à savoir « Happiness », qui se rapproche de « Drowse » que le connaisseurs de Queen ont forcément en mémoire… L’impression générale que nous laisse cet opus est dès lors assez logique : on n’est pas complètement retourné ni ébahi devant ces titres ; on est juste satisfait de voir que Roger Taylor va de l’avant, qu’il n’a pas abdiqué et que deux ans après la mort de Freddie Mercury, il n’a peut-être pas tourné la page mais que son envie et sa motivation sont intactes.

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QUEEN + PAUL RODGERS - THE COSMOS ROCKS (2008)

29 Novembre 2009, 17:22pm

Publié par ANTHEVA

Rock-my-world.FrIl y a encore quelques années, ça aurait paru de la pure science-fiction. Le genre de fantasme de vieux con, de celui qui ne vit que par ses rêves et ses folies envolées. Et pourtant, on est bel et bien là : le nouvel album de Queen. Rien que de l’écrire, ça me fait un petit pincement au cœur. Alors, certes, ce n’est pas Queen au complet ; l’expérience aurait été un brin morbide. But still. Brian May et Roger Taylor (le guitariste et le batteur, pour les deux du fond qui n’ont pas de culture, le bassiste John Deacon s’étant recroquevillé dans sa campagne) ne sont pas des vieux croûtons bons pour la maison de retraite, et ils comptent bien le prouver.
La résolution prit véritablement jour début 2005, alors que May et Taylor joue sur scène We Will Rock You et We Are The Champions, accompagnés au chant parPaul Rodgers, ex-leader de Free et Bad Company. Cela fut si bienfaiteur pour les trois hommes que, illico presto, l’idée naquit de leurs cerveaux en ébullitions: il fallait faire une tournée. Reprendre la scène, et créer ce parti-pris, Queen + Paul Rodgers. Dont acte. Un évènement supposé sans suite, pour pouvoir revivre une dernière fois la folie des lives, et faire renaître tous les joyaux de Queen. Les mauvaises langues disaient à l’époque qu’ils faisaient ça pour le fric. Les mauvaises langues, on les coupe. L’émotion était là.
Et voilà comment fut annoncé en 2007 la mise en chantier d’un album studio, entièrement composé de nouvelles chansons écrites par le trio. Ce sera The Cosmos Rocks (titre sûrement choisi par May, Docteur en Astrophysique qu’il est), et il nous aura fallu attendre jusqu’à ce 15 septembre 2008 pour l’entendre. Alors, oui, comme je l’ai dit en introduction de cet article, oubliez toute notion d’objectivité : quand il s’agit de Queen, ça fait un bail que je l’ai roulé en boule et laissé au fond d’un placard, pour qu’elle soit bouffée par les mites et les ragondins. Malgré tout, je vais quand même me débrouiller pour vous faire comprendre que The Cosmos Rocks est un très bon album.
Pas seulement un timide sursaut de trois bonshommes qui veulent refaire un album ensemble, mais un vrai grand et bel album de rock, avec juste ce qu’il faut de blues et de mélodies pour en faire une œuvre à géométrie variable. Brian May et Roger Taylor sont – pour ceux qui en doutaient – d’une forme olympique, tandis que Paul Rodgers(frère caché de Chuck Norris!) est définitivement le chanteur rêvé pour s’allier aux deux compères : sa voix, forte et rocailleuse, offre une élasticité héritée de sa musique blues qui convient tout à fait au style de May et Taylor. Et, surtout, tout comme on a pu s’en rendre compte au concert, il ne cherche à aucun moment à remplacer Freddie Mercury, ou lui ressembler.
    Il apporte sa propre contribution, sa propre énergie, pour former un mélange final d’une texture unique, qui ne ressemble non seulement pas à Queen mais pas non plus à tout ce qui peut se faire actuellement. Et ça, on s’en rend compte dès qu’il entame Cosmos Rockin’, qui débute l’album. Après une introduction typique de Brian May à base de nappes de guitares, de bruits étranges et de voix trafiquées, la guitare se fait plus franche, riffée, tandis que Roger Taylor arrive la tête la première avec ses grosses cymbales. Devant, Paul Rodgers imprime d’entrée son style, avec une voix très rythmique qui parait posséder son propre métronome. What planet is this, mmm ? Let there be rock’n’roll !
Et puis Time To Shine verra l’apparition du piano, qui vient se fondre à la guitare. Un deuxième morceau plus posé que l’explosant premier, mais véritablement de toute beauté : la musique se fait planante, tout en gardant la pêche. Le refrain est particulièrement mémorable, Rodgers criant "Raise up your mind, It’s time to shine". Je voix d’ici tous les fans crier en chœur lors des concerts pour la tournée de l’album. Plus loin, la musique se fera plus folk avec Still Burnin’ et bluesy avec la géniale Warboys ou encore la très old-school Call Me, des joyaux marqués notamment par des solos deBrian May qui font pâlir n’importe quel jeune groupe de rock actuel. Une manière de dire qui est le patron, en somme.
    Et puis, au milieu de ces titres fiévreux et enlevés, on trouve des ballades mélancoliques, oscillant entre l’acceptable (Some Things That Glitter) et l’extraordinaire dans le cas de Small et son solo de guitare ahurissant… Dans tous les cas, ces petites parenthèses mélancoliques font leur effet, rappelant du Cat Stevens ou du Johnny Cash. Et même, quelques fois, du Queen. Si si, fou, hein ? Mais tout ça servira à mieux nous préparer, nous hypnotiser, avant la claque finale, le nirvana ultime que représente Surf’s Up… School’s Out! clôturant l’album (si on ne tient pas compte de la reprise de Small en version instrumentalo-planante). Un dernier titre exceptionnel, démarrant par une nappe timide avant que tout n’explose pour le meilleur et le meilleur.
    En fin de compte, après avoir écouté ce Cosmos Rocks, il faut se rendre à l’évidence : oui, Queen + Paul Rodgers ont véritablement fait un album de bon niveau. Ils ont su se réinventer pour accoucher d’un rock nerveux et puissant, parsemé de voix divines, de solos de guitares extraterrestres et d’une batterie martelée jusqu’à l’agonie. On avait peur du résultat, on craignait un truc un brin ringard, la jaquette plus atroce que l’atrocité elle-même ne nous avait pas rassuré, mais les faits sont là : Roger Taylor est toujours l’un des meilleurs batteurs qui soient, Brian May est toujours le plus grand guitariste de tous les temps, et Paul Rodgers est toujours le catalyseur d’une alchimie atemporelle et intemporelle.

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QUEEN - SPREAD YOUR WINGS (1978)

28 Novembre 2009, 22:38pm

Publié par ANTHEVA


Spread Your Wings est le premier single du groupe qui ne comporte pas de chœurs. Ecrite par John Deacon qu'on retrouve à la basse et à la guitare acoustique, elle est également interprétée par Freddie Mercury au chant et au piano, Brian May à la guitare et Roger Taylor aux percussions. La chanson parle d'un jeune homme, Sammy, qui s'occupe du nettoyage dans le Emerald Bar. Le chanteur essaye de le motiver à vouloir plus de la vie, à « étendre ses ailes et prendre son envol » (« Spread your wings and fly away »). Une des chansons préférées parmi la communauté de fans de Queen, elle n'a cependant pas eu de grand succès dans les charts. Une autre version de la chanson existe, enregistrée lors de sessions à la BBC. Le piano y a plus d'importance et la fin de la chanson a également un tempo plus rapide.

Réalisée par Rock Flicks, la vidéo du clip a été tournée dans le jardin de la maison de Roger Taylor dans le Surrey, qu'il venait tout juste d'acheter, alors que les précédents propriétaires l'habitaient encore. Enregistrée en plein mois de janvier 1978, on voit les quatre membres du groupe dans la neige et on devine à leurs visages qu'ils ont plutôt froid. Brian May et John Deacon ne portent d'ailleurs pas de gants afin d'être plus convaincants avec leurs guitares ; Brian joue d'ailleurs d'une copie de sa fameuse Red Special afin que l'originale ne soit pas abîmée par le froid.

C'est durant ce même jour que la vidéo du clip We Will Rock You a été enregistrée.


 

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QUEEN - Hommages internationaux

28 Novembre 2009, 21:48pm

Publié par ANTHEVA

 Rock-my-world.Fr


  sondages de popularité :

  • 1975 - Sounds Readers’ Poll Awards :
  • 1999 - Le groupe est élu second meilleur groupe de l’histoire musicale.
  • 2005 - La performance du groupe au Live Aid est élue, par un vaste jury composé de musiciens et de critiques, « meilleure performance live de tous les temps ».
  • 2007 - Queen est désigné, dans un sondage populaire, « meilleur groupe britannique de tous les temps ».
  • 2007 - Freddie Mercury est réélu plus grande légende du rock, d'après un sondage publié suite à la parution du jeu Guitar Hero II.
  • 2008 - Queen est à nouveau désigné « plus grand groupe britannique de tous les temps » par les auditeurs de la chaîne anglaise BBC Radio 2.
  • 2009 - Mercury est élu « Ultime Dieu du Rock » par l'institut de sondage britannique OnePoll, sur une liste des 4 000 plus grandes figures du rock. Il devance ainsi Elvis Presley de quelques voix, tandis que Brian May figure à la 17e place.

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THE ART OF QUEEN - THE EYE (1998)

28 Novembre 2009, 20:22pm

Publié par ANTHEVA

Ce livre sorti en 1998 constitue un "making of" magnifique pour le jeu "The Eye" sorti la même année et dont la musique est signée Queen. Il est bien plus intéressant que "The Eye" lui-même et contient un CD-ROM d'introduction au jeu. Pour tout savoir sur le jeu, cliquez ici.

Écrit par David McCandless et Richard Ashdown, édité par Smithmark Publishers, ce livre dévoile les secrets de fabrication du jeu à travers 159 pages illustrées expliquant la façon dont les images et animations ont été créées. Chaque niveau du jeu est commenté, les personnages sont présentés et les coulisses explorées. Les effets 3D, les scènes de combat, la motion capture, le rôle de la musique ainsi que la création des personnages, etc. y sont expliqués. Tout y est, mais en anglais...


Recto et verso du livre

   



Quelques illustrations...

   

   

   

   

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QUEEN - LE CALENDRIER INNUENDO (1991)

28 Novembre 2009, 11:59am

Publié par ANTHEVA

Rock-my-world.Fr
En 1991, L'avant-dernier album de Queen, Innuendo, sort accompagné d'un calendrier de la même année. Le tout au format CD est regroupé dans un "slipcase" présentant les mêmes illustrations que la jaquette du boîtier (recto et verso). Le calendrier, également au format CD, se compose de 12 pages illustrées (une illustration pour chaque mois). Il s'agit d'une édition limitée non numérotée.
   Les illustrations sont de Jean Ignace Isidore GÉRARD, dit Grandville (1803-1847), dessinateur et graveur français, considéré comme un précurseur par les surréalistes. Il illustra La Fontaine, Cervantès, mais se fit connaître grâce à ses Métamorphoses du jour en 1829, dans lesquelles il représentait des hybrides "homme-animal".
   La plupart des illustrations ont été retouchées par Queen pour harmoniser "l'esprit Grandville" et "l'esprit Queen".




12 titres :


01. Innuendo
02. I'm Going Slightly Mad
03. Headlong
04. I Can't Live With You
05. Don't Try So Hard
06. Ride The Wild Wind
07. All God's People
08. These Are The Days Of Our Lives
09. Delilah
10. The Hitman
11. Bijou
12. The Show Must Go On

Calendrier :


















 































 































Sur le dessin original de Grandville (repris pour la pochette d'Innuendo), le clown jongle avec la médaille de la légion d'honneur. Elle a été remplacée par une banane sur la pochette.




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